En relisant Oh les beaux jours, de Samuel Beckett (éditions de Minuit)...
On cherche les oh :
Oh ça ne presse pas, ça ne presse pas, seulement ne te repelotonne pas.
Oh fugitives joies – oh… ta-la lents malheurs.
Oh je vois, il te reste de ton produit.
Oh le beau jour encore que ça va être !
Oh les beaux jours de bonheur !
Oh non vraiment !
Oh tant pis, quelle importance, voilà ce que je dis toujours, c’est très simple, je me coifferai plus tard, très simple, le temps est à Dieu et à moi.
Oh il va me parler aujourd’hui, oh le beau jour encore que ça va être !
Oh je sais bien, mon chéri, ramper à reculons, ce n’est pas de tout repos, mais on est payé, de sa peine, en fin de compte.
Qu’ils pleurent, oh mon Dieu, qu’ils frémissent de honte.
Oh sans doute des temps viendront où je ne pourrai ajouter un mot sans l’assurance que tu as entendu le dernier et puis d’autres sans doute d’autres temps où je devrai apprendre à parler toute seule chose que je n’ai jamais pu supporter un tel désert.
Oh je sais bien, il ne s’ensuit pas forcément, lorsque deux êtres sont ensemble – de cette façon – parce que l’un voit l’autre que l’autre voit l’un, la vie m’a appris ça… aussi.
Oh je peux bien m’imaginer ce que tu rumines, celle-là alors, il ne suffisait pas d’avoir à l’entendre, maintenant il faut la regarder par-dessus le marché.
Oh j’en conviens, il y a de quoi sécher.
Oh c’est une consolation, sans doute, te savoir là, mais je t’ai assez vu.
Oh tous les cinq, tu es un ange aujourd’hui, maintenant je vais pouvoir continuer, d’un cœur léger.
Moi-même ne finirai-je pas par fondre, ou brûler, oh je ne veux pas dire forcément dans les flammes, non, simplement réduite petit à petit en cendres noires, toute cette – chair visible.
Oh le beau jour encore que ça aura été !
Oh quand même !
Oh Willie, tu ne vas pas l’avaler !
Oh le beau jour encore que ça aura été, encore un !
Oh tu dois être mort, oui, sans doute, comme les autres, tu as dû mourir, ou partir, en m’abandonnant, comme les autres, ça ne fait rien, tu es là.
Oh pas tous.
Oh je sais, tu n’as jamais été causant, Winnie sois à moi je t’adore et finie fleurette, la parole est aux offres et demandes.
Oh mais dis donc, c’est fantastique !
Oh le beau jour encore que ça aura été.
Puis, les expressions qui accrochent :
Bouchette blémie (p 20)
Drôle de tournure (p 29)
Oui, mis ma toque (p 29)
Les mots vous lâchent (p 30)
A longueur de journée (p 34)
Ce grand sac noir (p 39)
A perte de passé et d’avenir (p 45)
Quelque chose semble s’être produit (p 46)
Ejecte, de grâce, éjecte ! (p 49)
Et de plus en plus étrange (p 53)
Las de ton trou, mon lapin ? (p 54)
Jusqu’ici (p 56)
Ce jour-là (p 61)
Simple hasard, je présume, heureux hasard (p 63 et 72)
Vermeil bernique (p 63)
Ce jour-là… le lac… les roseaux. (p 64)
Ah oui, les choses ont leur vie (p 65)
Dors et veille (p 65)
Il vous arrive de trop attendre (p 68)
On cherche les oh :
Oh ça ne presse pas, ça ne presse pas, seulement ne te repelotonne pas.
Oh fugitives joies – oh… ta-la lents malheurs.
Oh je vois, il te reste de ton produit.
Oh le beau jour encore que ça va être !
Oh les beaux jours de bonheur !
Oh non vraiment !
Oh tant pis, quelle importance, voilà ce que je dis toujours, c’est très simple, je me coifferai plus tard, très simple, le temps est à Dieu et à moi.
Oh il va me parler aujourd’hui, oh le beau jour encore que ça va être !
Oh je sais bien, mon chéri, ramper à reculons, ce n’est pas de tout repos, mais on est payé, de sa peine, en fin de compte.
Qu’ils pleurent, oh mon Dieu, qu’ils frémissent de honte.
Oh sans doute des temps viendront où je ne pourrai ajouter un mot sans l’assurance que tu as entendu le dernier et puis d’autres sans doute d’autres temps où je devrai apprendre à parler toute seule chose que je n’ai jamais pu supporter un tel désert.
Oh je sais bien, il ne s’ensuit pas forcément, lorsque deux êtres sont ensemble – de cette façon – parce que l’un voit l’autre que l’autre voit l’un, la vie m’a appris ça… aussi.
Oh je peux bien m’imaginer ce que tu rumines, celle-là alors, il ne suffisait pas d’avoir à l’entendre, maintenant il faut la regarder par-dessus le marché.
Oh j’en conviens, il y a de quoi sécher.
Oh c’est une consolation, sans doute, te savoir là, mais je t’ai assez vu.
Oh tous les cinq, tu es un ange aujourd’hui, maintenant je vais pouvoir continuer, d’un cœur léger.
Moi-même ne finirai-je pas par fondre, ou brûler, oh je ne veux pas dire forcément dans les flammes, non, simplement réduite petit à petit en cendres noires, toute cette – chair visible.
Oh le beau jour encore que ça aura été !
Oh quand même !
Oh Willie, tu ne vas pas l’avaler !
Oh le beau jour encore que ça aura été, encore un !
Oh tu dois être mort, oui, sans doute, comme les autres, tu as dû mourir, ou partir, en m’abandonnant, comme les autres, ça ne fait rien, tu es là.
Oh pas tous.
Oh je sais, tu n’as jamais été causant, Winnie sois à moi je t’adore et finie fleurette, la parole est aux offres et demandes.
Oh mais dis donc, c’est fantastique !
Oh le beau jour encore que ça aura été.
Puis, les expressions qui accrochent :
Bouchette blémie (p 20)
Drôle de tournure (p 29)
Oui, mis ma toque (p 29)
Les mots vous lâchent (p 30)
A longueur de journée (p 34)
Ce grand sac noir (p 39)
A perte de passé et d’avenir (p 45)
Quelque chose semble s’être produit (p 46)
Ejecte, de grâce, éjecte ! (p 49)
Et de plus en plus étrange (p 53)
Las de ton trou, mon lapin ? (p 54)
Jusqu’ici (p 56)
Ce jour-là (p 61)
Simple hasard, je présume, heureux hasard (p 63 et 72)
Vermeil bernique (p 63)
Ce jour-là… le lac… les roseaux. (p 64)
Ah oui, les choses ont leur vie (p 65)
Dors et veille (p 65)
Il vous arrive de trop attendre (p 68)
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